
La Chanson de la rue Saint-Paul
Max Elskamp explore avec délicatesse et nostalgie son monde intérieur, ses souvenirs d’enfance, ainsi que sa fascination pour le sacré.
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Max Elskamp explore avec délicatesse et nostalgie son monde intérieur, ses souvenirs d’enfance, ainsi que sa fascination pour le sacré.
Le recueil aborde des thématiques universelles telles que le passage du temps, la solitude et la douleur, mais c’est à travers une tendresse palpable que Karel Logist les explore. Ces sujets permettent de dévoiler une intimité singulière, offrant au lecteur une expérience intime, où chacun peut se retrouver, se reconnaître.
Dans ce volume triptyque, la poésie de Jean Dominique se dévoile dans sa plus intime prosodie. Elle y est à la fois poème et récit de soi… et se redécouvre au travers du regard de celle qu’elle aura silencieusement aimé pendant plus de cinquante ans.
Dans Destins nomades, Daniel De Bruycker nous invite à un voyage aux frontières de l’exil et du nomadisme, en tissant des récits où la poésie se mêle à la fiction.
« Il manquait à la poésie de ce temps une voix pourpre. Nous l’avons désormais ».
René Char
La poésie de Charline Lambert relève le verbe de la mort, de ses mille et une formes de décès, voyage dans l’au-delà du sens, dans la toile phonique, sans pour autant se délester de la teneur en signification de termes, de phrases désincarcérées.
Cette anthologie propose un vaste parcours au sein de l’œuvre de Guy Goffette. Textes choisis au sein des recueils Quotidien rouge (1971), Nomadie (1979), Solo d’ombres (1983), Éloge pour une cuisine de province (1988), La Vie promise (1991), Le Pêcheur d’eau (1995), Un Manteau de fortune (2001), L’Adieu aux lisières (2007), Tombeau du Capricorne (2009), Petits riens pour jours absolus (2016), Pain perdu (2020), Paris à ma porte (2021).
L’anthologie ici proposée ne veut être ni un bilan, ni un état des lieux en bonne et due forme. Elle vise néanmoins à arpenter la production de deux décennies aux bornes symboliques – quelle poésie après l’an 2000 ? –, en parcourant ses domaines et leurs chemins. On y trouvera rassemblés 128 poètes.
Voici des visions de cités labyrinthiques enfouies au plus profond de notre mémoire, des images surgies de la peinture, celle de Dalí, de Bosch. Voici un hors champ de Magritte, voici l’univers de Schuiten, celui de M.C. Escher où les escaliers se montent, se descendent, éternellement.
Carl Norac fait partie des écrivains voyageurs, comme avant lui Nicolas Bouvier ou Blaise Cendrars. Pour lui, le voyage est avant tout un voyage « au fond de soi ». Dans cette anthologie qui couvre l’ensemble de la production poétique de l’auteur à ce jour, on suit ainsi les traces du poète arpentant le monde dont les lieux et les villes résonnent dans le lointain.
La poésie de Jacques Vandenschrick est de celles qui se donnent et se refusent à la fois. Si le texte se développe en phrases généralement simples, nourries d’un lexique familier et immédiatement évocateur, sa difficulté se situe ailleurs : elle suscite, dans cette écriture-ci comme dans d’autres, éminemment modernes, des questions cruciales…
Cette anthologie unique en son genre propose une immersion dans l’oeuvre poétique de William Cliff, dont certaines publications ne sont plus disponibles autrement. Un véritable chef-d’œuvre de poésie contemporaine, entre archaïsme et modernité, avec une maîtrise des mots prodigieuse.
« Ce n’est pas parce que l’on a mangé une fois du caviar que l’on a traversé la Volga à la nage. » Quarante ans après la disparition d’Achille Chavée, cette anthologie regroupe quelques-uns des plus puissants poèmes et aphorismes de l’auteur.
Poète original et facétieux, tout en demeurant accessible, Norge permet à tout un chacun de retrouver la chaleur fraternelle d’«une chanson bonne à mâcher quand il fait noir, quand il fait peur». Cette publication regroupe quatre de ses principaux recueils parus entre 1949 et 1954, à savoir Les Râpes, Famines, Le Gros Gibier et La Langue verte.
Que ce soit en Princesse Hatshepsout, à Louxor, sur un dromadaire ou en actrice, sensuelle et charnelle, du cinéma italien des années 1950, Gisella Fusani, qui est morte au terme d’une longue et odieuse maladie, ne cesse de vivre dans ce bouleversant poème d’amour fou qui tente de nous la restituer telle qu’elle-même elle continue d’être : belle, infiniment douce et magnifiquement rebelle. Ce texte est suivi de L’Idiot du Vieil-Âge, somme d’excentries qui affirme haut et fort que «la vie vaut lapin d’être vécue»!