
La Chanson de la rue Saint-Paul
Max Elskamp explore avec délicatesse et nostalgie son monde intérieur, ses souvenirs d’enfance, ainsi que sa fascination pour le sacré.
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Max Elskamp explore avec délicatesse et nostalgie son monde intérieur, ses souvenirs d’enfance, ainsi que sa fascination pour le sacré.
Dans la tourmente de la guerre d’indépendance roumaine, une silhouette inquiétante se dresse : Boris Liatoukine, surnommé « le Capitaine Vampire ».
Rocafrène, 1957. Un village semblable aux autres : un curé, un charcutier, des artisans. Mais il abrite aussi un artiste peintre, José Cohen, réfugié de la guerre. Or, celui-ci parvient à convaincre la fille du charcutier, la belle Thérèse, de poser nue au bord de la rivière. Le tableau demeure secret pendant des années jusqu’au jour où un article de journal le mentionne… et entraîne la mort de José.
Le recueil aborde des thématiques universelles telles que le passage du temps, la solitude et la douleur, mais c’est à travers une tendresse palpable que Karel Logist les explore. Ces sujets permettent de dévoiler une intimité singulière, offrant au lecteur une expérience intime, où chacun peut se retrouver, se reconnaître.
Dans Mira, Caroline Lamarche donne libre cours à une fantaisie qui ne perd jamais le fil d’un récit avant tout initiatique.
Michèle Fabien poursuit une réflexion passionnée sur la place des femmes dans la société et sur le rôle du théâtre comme espace de résistance, de mémoire et de vérité.
Dans ce volume triptyque, la poésie de Jean Dominique se dévoile dans sa plus intime prosodie. Elle y est à la fois poème et récit de soi… et se redécouvre au travers du regard de celle qu’elle aura silencieusement aimé pendant plus de cinquante ans.
Keetje trottin, c’est la fraîcheur du regard d’une petite femme en devenir qui laisse une lueur d’espoir dans ce monde souvent fait de misère pour les petites gens de cette époque.
Dans ce roman qui relate son enfance dans un quartier pauvre d’une commune de Vénétie, Francis Tessa évoque avec douceur et un brin de nostalgie les petits plaisirs de la vie quotidienne au-delà de la pauvreté et des bouleversements de l’époque.
Dans Destins nomades, Daniel De Bruycker nous invite à un voyage aux frontières de l’exil et du nomadisme, en tissant des récits où la poésie se mêle à la fiction.
En deux récits emblématiques parcourant quarante ans d’écriture, ce recueil propose une synthèse de l’imaginaire scientifique de J.-H. Rosny aîné.
Dans plusieurs millénaires, la Terre est à bout de ressources. Les derniers humains peuplent quelques oasis dispersées dans un monde hostile et désertique.
Il se dégage de ce livre à la beauté sensible une mélancolie profonde. L’imaginaire poétique d’un écrivain majeur du surréalisme belge s’y révèle tout entier.
Enrôlé dans l’armée israélienne pendant la campagne libanaise de 1982, Aniel Mahasöhn déserte et croise la route d’une folle de guerre palestinienne qu’il se met à suivre.
« Il manquait à la poésie de ce temps une voix pourpre. Nous l’avons désormais ».
René Char