Par fil spécial
Les souvenirs du secrétaire de rédaction du « journal le mieux informé » n’épargnent personne : ni ceux qui le font, ni ceux qui le lisent. Dans un étourdissant flash-back, André Baillon multiplie les anecdotes tendres et cyniques et dresse une vivante galerie de portraits et de caractères. Nous nous retrouvons alors face à un monde où « informer » ne veut pas « tout dire ». Et si aujourd’hui l’ordinateur a remplacé les machines à écrire, pour les journalistes, comme le dit René Haquin dans sa préface, les choses ont peu changé…