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Marcel Thiry

Né en 1897 et décédé en 1977, Marcel Thiry a profondément marqué le XXe siècle en Belgique. Il commence à publier ses poésies alors qu’il poursuit des études de droit à l’Université de Liège, en 1918. En 1924, Toi qui pâlis au nom de Vancouver, son plus célèbre recueil, paraît. Il sera suivi de nombreux autres, abordant chacun à leur manière les thèmes de la nostalgie, du voyage, de l’enfance mais aussi de la découverte des femmes. En 1928, son père décède et Thiry décide d’abandonner le barreau. Il publie alors davantage de poèmes – Marchands (1936), Mer de la Tranquilité (1938) – dans un style original et rafraîchissant, emblématique d’une certaine modernité belge, ce qui lui vaudra d’obtenir le Prix triennal de poésie en 1935. Toute sa vie, cet écrivain engagé défendra, à travers ses écrits mais aussi ses actions politiques, la Wallonie et la langue française. En 1946, il entre à l’ Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique (ARLLFB) et y devient secrétaire perpétuel de 1960 à 1972. Au-delà de sa production poétique, son œuvre inclut de nombreux romans, des nouvelles – dont certaines tendent vers le fantastique comme Nouvelles du Grand Possible (1960) – et des essais.

De cet auteur

Nouvelles du Grand possible

Nouvelles du Grand Possible Marcel Thiry

Traversées

Traversées Marcel Thiry

Échec au temps

Échec au temps Marcel Thiry