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Georges Rodenbach

Après ses études à Gand, le Tournaisien Rodenbach s’installe en 1888 à Paris, où il avait déjà vécu un an. C’est là que l’écrivain, qui avait alors derrière lui plusieurs recueils de poésie (La Jeunesse blanche, 1886) et un roman (L’Art en exil, 1889), va connaître la gloire avec Bruges-la-morte (1892). Le thème de la nostalgie qui habite ce roman était déjà présent dans Le Règne du silence (1891), et va désormais inspirer le reste de l’œuvre (Les Vies encloses, 1896; Le Miroir du ciel natal, 1898). Rodenbach est également auteur de nouvelles et de pièces de théâtre.

De cet auteur

Bruges-la-Morte

Bruges-la-Morte Georges Rodenbach

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